Né à

Né à

1923 : Réfugié à Cuba sous la dictature de Primo de Rivera, il forme un groupe avec Fidel Miro y Esteban Pallarols.

1930 : Expulsé de Cuba par le dictateur Gerardo Machado, il rejoint en Espagne le mouvement trentiste dirigé par Angel Pestaña.

Né à

Né à

Journaliste

1919 : Délégué au Congrès national pour la région Centre (Castilles).

1936 :

Né à

Journaliste

1903 : Né à Cadix

Milite dans le syndicat du Bois

Milite très jeune dans les groupes clandestins anarchistes.

1920 : il intègre le groupe "Salvoechea " avec José BANAT.

1921 : En pleine période de grande répression, il assiste comme délégué à un Plenum des groupes anarchistes à El Arahal, pour décider de leur incorporation au sein de la CNT. Il fut secrétaire de son syndicat.

1923 : Lors de la dictature de Primo de Rivera, il se maintient à son poste dans la clandestinité, et écrira des articles dans des journaux ou revues comme : Solidaridad Obrera de Gijon, Accion Social Obrera de San Feliu de Guixols, Despertad de Vigo, Redacción de Alcoy.

1930 : Au Plenum de syndicats de Seville, il représenta plusieurs syndicats de sa région.

1932 : il participe à une campagne de propagande en Andalousie, et après la grève dite de la bomba de mayo, il est élu Secrétaire du Comité régional d’Andalousie et Extremadure.

1933 : Au Plenum des régions de Madrid, il est décidé de créer le journal CNT à Madrid, dont il sera avec Perez Cordon le correspondant pour l’Andalousie.

1934 : Il est arrêté, suite à l’insurrection d’octobre dans les Asturies, et sera déçu des dissensions internes.

1935 : il milite pour le pacte UGT-CNT.

1936 : En début d’année, il participe à un meeting à Barcelone où on lui demande s’il veut bien être élu comme Secrétaire du Comité National, mais les événements l’en empêcheront. En février, les monarchistes lui proposent de l’argent ou la mort, pour que la CNT ne vote pas, ce à quoi il se refuse, mais voyant la droite se réjouir des voix obtenues à Cadix, il fera voter en fin de scrutin les ouvriers, ce qui changera le résultat. En mai, il tient un meeting à Cadix avec Largo Caballero pour l’UGT.

1936 : Délégué de Cadix au Congrès de Saragosse.

Né à Madrid

Maçon

Il fait partie de l’Athénée de Ventas

1936 : Part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe "Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

1885 : Né en Aragon

journaliste

Il écrit dans le journal Tierra y Libertad.

1919 : Délégué au Congrès National. 

1922 : Après l’assassinat de Segui, il s’oppose à Joaquin Maurin (qui exclu, créera le POUM) pour que la CNT ne devienne pas Bolchevique.

1945 : En exil, il écrit sous le pseudonyme de Fulgencio Martinez

1962 : Meurt.

Né à

Né à

1895 : Né à Murcia

1934/36 : Correspondant de Solidaridad Obrera à Barcelone.

1939 : Exilé en France.

1943 : Membre du secrétariat aux Relations, élu au Plenum de Mauriac (Cantal) le 6 juin. Milite dans le Cantal, il est un des initiateurs du congrès cénétiste de Marseille en décembre.

1967 : Rejoint la CNT politique.

Bibliographie :il est l’auteur de " Contribucion a la historia de la CNT de España en el exilio "

Né à

Né à Valladolid

Typographe

Avant 1919 il est secrétaire du Comité National de la CNT.

1916 : né à Monerio (Saragosse)

Ouvrier agricole il milite à la CNT.

1936 : il rejoint la colonne Durruti, puis s’occupe de collectivités de l'Aragon.

Né à

Né à

1936 : secrétaire du Comité de Lerida.

1886 Né à Caspe le 7 juillet

Ebéniste

1893 : commence ses études élémentaires.

1900 : Entre au séminaire franciscain de Villanueva del Ariscal (Séville).

1905 : Annonce aux franciscains son abandon des études de séminariste car il ne croit pas en Dieu.

1906 : Se fixe à Saragosse et apprend le métier de menuisier- ébéniste, métier qu’il exercera jusqu’à la fin de ses jours. Il s’inscrit à la " Société Ouvrière " et y est élu secrétaire de la première assemblée.

1910 : Il assume la direction du périodique " Cultura y Accion ".

1911 : se marie à Sargasse le 11 septembre avec Simona Perez et doit fuir le même jour de son mariage poursuivi par la police. Il se réfugie à Lourdes (France) où le rejoint sa femme.

1911 : Il fait un voyage à Londres où il fait connaissance de E. Malatesta.

1914  Amnistié, il revient en Espagne.

1915 : Il se réfugie à nouveau en France.

1916 : Voyage à Lausanne où il a un entretien avec Lenine et Zinovieff.

1918 : Résolu à rentrer en Espagne, il est arrêté à la frontière et séjourne dans les prisons de San Sebastian, Gijon, Saragosse, Madrid, et Sans (Barcelone).

1918 : Il retrouve la liberté et peut participer en temps que délégué du syndicat du Bois au Congrès régional de Sans.

1918 : Il est élu secrétaire au Comité national de la CNT, et participe à une campagne de propagande en Andalousie et Valencia, mais il est arrêté et ne peut terminer la campagne.

1919 : Comme Secrétaire du Comité national, il organise la tenue à Madrid du Congrès de la Comedia où il prend une part très active.

1921 : Reprend à nouveau la direction du périodique Cultura y Accion, organe des fédérations d’Aragon, Asturies et Navarre.

1923 : Sous Primo de Rivera, il n’arrêtera pas de conspirer contre la dictature.

1925 : Publie et dirige la revue El Productor à Blanes (Barcelone).

1926 : Poursuivi, il se réfugie à Paris.

1928 : Retour en Espagne.

1929 : Retour en France.

1930 : Les autorités françaises l’expulsent et il retourne en Espagne.

1936 : Accompagné par son fils Antonio, et d’autres ouvriers il participe aux luttes du 19 juillet à Barcelone d’où il partira avec son fils pour le front d’Aragon.

1937 : Mort héroïque de son fils Antonio sur le front d’Aragon (il a une fille Blanca né en 1923)

1939 :Il part pour la France où il est interné dans des camps de concentration.

1941 : Arrêté par la Gendarmerie, il est conduit à Mornat ( dept. du Rhône) où il subit des sévices et vexations qui entameront sa santé.

1943 : Il peut s’installer à Valence (dept. de la Drôme) où il participe à la résistance contre les Allemands et initie la réorganisation de la CNT en exil. Il est un des initiateurs du congrès cénétiste de Marseille de décembre. Participe à toute la vie de la CNT en exil jusqu’à sa mort.

1964 : Il meurt le 6 novembre à Bourg les Valences.

Né à Barcelone

Né à

Né à

Né à

1884 : Né à Palma de Mallorca.

Directeur et rédacteur du journal Solidaridad Obrera.

Directeur du journal Iberion, financé par Durruti.

Né à

A habité Buenos Aires.

Né à

1944 : Elu au secrétariat du Comité National du MLE au congrès de Muret en mars.

1944 : Réélu à la section d’économie du CN du MLE en octobre à Toulouse.

1945 : Il fut le premier délégué officiel à partir pour Barcelone en avril avec de la documentation pour le CN et CR de Catalogne et la convocation au Congrès de Paris du mois de mai.

Né à

1896 : Né à Barcelone.

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

1945 : Il est délégué par la CNT collaborationniste de l’intérieur comme sous-secrétaire au ministre de l’Agriculture dans le gouvernement républicain en exil au Mexique de José Giral.

Né à

1905 : Né à Barcelone le 25 avril.

Il habite le quartier de Collblanc-La Torrassa et commence à militer à l’âge de 17 ans, dans des associations théâtrales.

1927 : Participe à la rédaction du bulletin El Ladrillero.

Né à

Journaliste

Né à

Né à

1917 : Né le 28 février à Suarez, Argentine.

Autodidacte, lecteur de Barrett et Pacheco.

Jeunesse errante en Amérique du Sud , avec son ami Sergio Chavez.

1936 : Les événements en Espagne l’incitent à partir pour l’Europe.

1937 : Il arrive à Barcelone le jour d’une réunion régionale de la FAI. Militant actif à Barcelone.

1938 : En avril, bien que répugnant à porter les armes et l’uniforme, il part pour le front et en revient déçu.

1939 : il se réfugie en France.

1948 : Meurt à Montjuich le 26 juin.

1883 : Né à Palamos, Ampurda

Journaliste

Son père, républicain et lecteur de Pi y Margal et Proudhon, fait de lui un jeune libéral, mais très vite, il passe dans le monde syndicaliste. Très actif et bon propagateur des idées anarchistes, il se fera repérer par la police et à 18 ans entrera pour la première fois en prison, qu’il connaitra de nombreuses fois tout au long de sa vie. Il connut Anselmo Lorenzo chez son père qui l’hébergeait.

1914 : Participe au congrès pacifiste qui dut avoir lieu au Ferrol, contre la 1° guerre mondiale.

1919 : Délégué au Congrès national pour la région du Levante, il est élu pour aller voir la révolution russe. Il ne parvient pas à franchir la frontière, mais il parcourt l’Italie où il rencontre Malatesta, Armando Borghi, Luigi Fabbri.

192 ? : Dirige Solidaridad Obrera à Valencia, lors de l’interdiction de parution à Barcelone.

192 ? : Durant la dictature de Primo de Rivera, il vivra à Perpignan comme chauffeur de taxi, et mettra en garde les jeunes anarchistes qui participaient aux événements de Vera del Bidasoa du piège, sans résultat.

1930 : Rédacteur de Solidaridad Obrera, à Barcelone. Il n’aime pas les exilés argentins de la FORA, ainsi que Marianet, qu’il appelle le totxo.

1933 : Il essaie d’arrêter ou de calmer les jeunes exaltés auteurs des événements de janvier et décembre de cette année.

193 ? : Il est expulsé de Solidaridad Obrera par son Directeur " Guajiro " (Manuel Villar).

1939 : S’exile au Mexique.

19 ? ? : Meurt en exil.

Né à Carmona ?

Né à

Né à

Né à Madrid

Maçon

Il milite à l’Athénée de Ventas

1936 : Les premiers jours de la guerre, il part à Sigüenza et se blesse lui-même en forçant la porte de l’épiscopat de la ville.

1936 : Il rejoint le groupe Madrid de la Colonne Durruti à Madrid.  

Né à

1897 : né à Jabali-nuevo (Murcia) Espagne le 27 septembre.

De famille ouvrière (son père maçon est craint par les autorités et a chassé la Guardia civil de son village), il émigre à Madrid, seul, à l’âge de 13 ans où il travaille comme jardinier puis maçon ; il est responsable dans le syndicat UGT à 15 ans.

1910 : il adhère à la CNT et participe à sa création, où il est plusieurs fois trésorier et "collecteur de fonds" du syndicat de la construction. Il fonde l’Athénée de Ventas.

1936 : Pendant la guerre il est le responsable mandaté par la CNT pour arrêter l’épuration et les exécutions arbitraires commencées par la garde civile aux ordres du parti communiste. Il est ensuite adjoint au maire de Canillas où il est chargé du ravitaillement. Il participe au service de renseignement de la CNT.

1939 : Avec Cipriano Mera, à l’extrême fin de la guerre à Madrid, il lutte contre le coup de force communiste .

1940 : Condamné à mort par les fascistes, il passera 7 ans en prison.

1947 : il sort de prison a la faveur d’une amnistie générale. Maçon, puis marchand de charbon, il passera le reste de sa vie à Ventas (Madrid) sous Franco.

1965 : Il participe, toutefois, avec Cipriano Mera au congrès de réunification de la CNT à Montpellier.

Né à

Né à

Né à

Secrétaire du Comité National de la CNT.

Né à

Participe à l’attentat contre Franco avec Ortiz à San Sebastien.

Né à

Né à

1944 : Entre le 3 et le 15 octobre, il est élu au secrétariat de la Propagande dans le nouveau Comité, dont la première réunion " publique " du MLE est célébrée à Toulouse.

Né à

Rédacteur à Orto et Cuadernos de Cultura de Valencia . Il rejoint le Parti Sindicalista de Angel Pestaña.

Né à

1919 : Délégué au Congrès National ?

1930 : Rédacteur à Solidaridad Obrera.

Né à

Journaliste

Né à

Poète.

1919 : Délégué au Congrès national pour la région andalouse.

Né à

Né à

Né à

Né à

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région Nord, il est présent à Berlin lors de la création de l’AIT.

1922 : Délégué pour les Asturies au Plenum du 11 juin à Saragosse.

Né à

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

1936 : Secrétaire de la Fédération Locale de Barcelone des syndicats, puis secrétaire du Comité régional.

Né à

1896 : Né à Léon le 14 juillet.

Mécanicien de locomotives.

1911 : A 14 ans, il travaille dans des ateliers métallurgiques, puis grace à son père, il entre aux ateliers du chemin de fer comme mécano.

1901 : Né à Malgrat.

Journaliste.

Compagnon de Federica Montseny.

1919 : Délégué au Congrès National. 

1939 : Se réfugie à Paris, où est constitué , le 25 février, le Conseil Général du Mouvement Libertaire MLE, dont il est nommé, après la mort de "Marianet", secrétaire général.

1940 : il veut dissuader " Juanel " de travailler avec Ponzan dont il se méfie, a établir des liens à travers les Pyrénées avec la CNT de l’intérieur. (Espagne)

1941 : Il est arrêté en octobre par la police Française en vue d’une extradition qui n’aura pas lieu, en compagnie de Federica Monseny.

1944 : Lors d’une réunion à Toulouse du Comité National le 28 octobre, il dit que les membres du conseil du MLE, étaient secrets et ne pouvaient donner leur nom.

1945 : Il est élu secrétaire général au Comité National en exil.

Né à

(1800 ?-

1886 : Né à Valencia le 4 janvier.

Enfant de cœur à l’église saint Nicolas de Valencia, il entre au séminaire qu’il quittera, écœuré par la religion. Il ne franchira plus la porte d’une église. Il fréquente les imprimeries et les théâtres.

1913 : Il part à Paris où il réalise des films muets comme : Les misères de l’aiguille, Un cri dans la jungle, Le vieux docker, La commune 1 subventionné par la coopérative Le cinéma du Peuple.

1917 : Il part pour la Russie et y reste deux ans. Il apprendra le russe.

1920/23 : Il parcourt l’Europe, L’Asie Mineure (il réalise un documentaire en Turquie), l’Afrique du Nord, et travaille dans beaucoup de pays.

1923 : Il s’installe en Allemagne, travaille pour la UFA dans les studios de Berlin (Babelsberg), il exerce tous les métiers du cinéma : directeur de doublage, producteur, scénariste, acteur.

1925 : Il participe aux premiers essais du cinéma parlant.

1926 : Il présente à Valencia plusieurs films parlants, il vivra 12 ans en Allemagne en faisant des allers et retours en Espagne.

1932 : Les lois Hitlériennes l’obligent à revenir en Espagne. Il prend comme compagne Isabel Anglada Sovelino née à Madrid le 5/02/1902.

1934 : Le 21/03/1934 naît sa fille Vicenta.

1935 : Avec son frère, il essaie de monter des studios de cinéma, mais ils échouent faute d’argent.

1936 : Le 16 juillet, il commence le tournage de " Carne de fieras " mais ne le montera pas pour partir tourner sur le front. Là il commencera son livre " A travers la mitraille " qui est publié dans des feuillets dans la presse anarchiste de Valencia. En septembre, il tourne des images avec son équipe sur Tolède et un film " Estampas guerreras ", film perdu ?

1937 : le 19 septembre, il évacue sa famille sur Paris, puis revient en Espagne où il travaille pour les services secrets de la CNT.

1939 : Après la défaite, il revient à Paris malade et sans papier.

1939 : Il meurt le 10 mars d’une crise cardiaque, il avait 53 ans.

Né à

1939 : Arrêté à Alicante.

1940 : Jugé le 29 février, il est condamné à la peine de mort, peine qui sera commué à 30 ans de prison.

1943 : Au mois de septembre, il sort de prison en liberté provisoire.

1944 : Il est élu secrétaire du Comité National de l’intérieur, fin décembre, suite à l’arrestation du précédent Comité.

1945 : En septembre, il rejoint la France.

1920 : Né à Barcelone le 6 janvier.

Syndicat du Bois, et FIJL.

1936 : Il part pour le Front d’Aragon avec la colonne Ascaso, qui deviendra la 28° division. Il changera d’unité, mais fera toute la guerre dans le même secteur.

1938 : Sa compagne aura une fille, elles disparaîtront, soit : lors de leur fuite vers la France ou dans les camps.

1939 : Lors des derniers combats en Catalogne, il sera fait prisonnier, et séjournera dans plusieurs prisons. (Saragosse, Vitoria, Extremadure). Il finira dans un bataillon de transport à Barcelone comme chauffeur personnel de Baixas Palau, commandant du corps juridico-militaire.

1945 : A sa libération, il rejoint la CNT dans le syndicat des industries graphiques, mais travaille comme garçon de café au bar de la Rotonde au pied du Tibidabo. Il est nommé Secrétaire de défense du Comité Régional Catalan en remplacement de Manuel Fernandez Rodriguez.

Né à

Né à (Andalousie)

1939 : Arrêté le 28 octobre, il séjournera dans la prison de Pueblo Nuevo de Barcelone, dont il sortira en février 1942.

Né à

Né à

1908 : Né le 13 mai à Barajas de Mello, Cuenca, Espagne.

Son père est ouvrier indépendant. Pas d’études dans son enfance. Il travaille avec son père jusqu’à 18 ans.

1926 : Emigre à Tarrasa, près de Barcelone ; exerce divers métiers et commence à militer à la CNT-FAI.

1932 : Participe à la prise de la Mairie de Tarrasa, mais il peut se sauver en accord avec ses compagnons avant l’arrivée de l’armée.

1935 : Vendeur sur les marchés peu avant la guerre.

Peu avant le coup d’état de 36, il tente de se rendre maître de la mairie de Tarrasa avec un groupe de militants, mais il doit fuir pour échapper à la garde civile. Certains de ses amis sont emprisonnés.

1936 : Incorporé à la colonne Durruti, il part pour l’Aragon (Farlete).Il est blessé au bras. Il est évacué sur la Catalogne.

1937 : Se marie.

1939 : Réfugié en France, il doit laisser sa famille en Espagne sans nouvelles. Il passe par le camp d’Argeles. Il fait plusieurs incursions en Espagne, puis revient en France.

1944 : Il s’évade du camp de Gurs avec la complicité de certains gardiens avertis d’un projet de déportation des espagnols vers l’Allemagne. Dans ce camp, il y avait aussi des internés juifs et allemands antinazis. Se réfugie à Toulouse, puis à Montpellier

1947 : Sa famille le rejoint en traversant la frontière clandestinement.

1945 : Lors de la scission de la CNT il ne prend pas parti, mais fréquente la tendance "réformiste ", celle de Cipriano Mera, qu’il rejoindra.

Bibliographie : il y a au CAD une vidéo d’interview tournée par A. Pobo.

Né à

Né à

192 ? : Signe comme Peiro le manifeste d’intelligence avec les républicains.

1930 : rédacteur à Solidaridad Obrera.

1939 : Exilé au Mexique.

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région catalane.

1920 : Né à Barcelone le 14 avril.

Tourneur sur Bois.

De son vrai nom Diego Franco Cazorla, famille modeste, études primaires.

1932 : Il fréquente l’Athénée rationaliste de la Torrasa à l’Hospitalet de Llobregat.

1933 : Il milite aux Jeunesses Libertaires.

1934-36 :Il est à la Federacion estudiantil de conciencias libres.

1936 : Il participe à la création d’une Université populaire en juillet.

1936 : Il part sur le front de Huesca avec la " Columna Roja y Negra " et participe à la défense des collectivisations en Aragon.

1937 : Après les événements de mai, il entre au comité régional des JJLL. ( Section de propagande)

1939 : Il se réfugie en France.

1940 : Participe à la réorganisation de la CNT en exil. Circule entre la zone libre et la zone occupée par les allemands.

1945-47 :Il fait plusieurs voyages clandestins en Espagne pour soutenir les maquis.

Né à

Né à

Né à

Maçon

Il milite à l’Athénée de Ventas

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

Né à

Né à

Né à

Journaliste

Né à

Journaliste.

1922 : Né à Barcelone le 25 décembre.

Né à

Poète et Lyrique.

1919 : Délégué au Congrès National .

Militant de la CNT, il est délégué au IV Congrès de la CNT.

Né à

Né à Madrid

Secrétaire du syndicat de métiers divers.

Il milite à l’Athénée de Ventas.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " dont il est élu délégué, groupe qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre,

1937 : Il est fait prisonnier le 6 janvier lors d’une reconnaissance, il est blessé par des légionnaires.

Né à

Né à Reus

Il fait partie du groupe "Nosotros".

Né à

Né à Madrid

Milite à l’Athénée de Cuatro Caminos.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

Né à Madrid

Vendeur ambulant.

Il milite à l’Athénée de Ventas.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Rédacteur à Solidaridad Obrera, il est exclu pour avoir informé indûment de la guerre en Abyssinie.

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

Né à

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région des Asturies. 

1939 : Il est au Comité de défense de Madrid pour la CNT.

Né à Colmenar Viejo.

Syndicat de Colmenar Viejo.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

1937 : Il reste à Colmenar Viejo comme secrétaire de son syndicat.

Né à

Né à

Né à

Né à

Né à

A habité en Californie.

Né à

Né à

Journaliste

Né à

Né à

D’une grande intelligence, elle à écrit dans la revue syndicaliste ORTO de Valencia et dans Cuadernos de la Cultura des articles sur la sexualité et le contrôle des naissances.

1932 : elle écrit une critique contre Marx dans ces livres : " Se equivoco Marx ? " et " Fracaso el Socialismo ? "

Né à

Né à

Né à La Coruña (Galicia).

Fils de famille aisée, il part pour Madrid avec sa femme où il travaille comme maçon.

Il milite à l’Athénée de Cuatro Caminos.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

1937 : Il reste à Madrid pour défendre son quartier.

1938 : Il est incorporé dans la division de Cipriano Mera.

Né à Madrid

Il milite à l’Athénée de Embajadores.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et liberera Madrid le 14 novembre.

Né à

1937 : Secrétaire régional des jeunesses libertaire de Madrid.

1938 : Délégué à la " Junta de Defensa " de Madrid.

Il est adjoint de Abad de Santillan au Comité des Milices et responsable au Conseil de la Généralitat.

Né à Madrid

Syndicat de métiers divers, il milite à l’Athénée du Retiro.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à Madrid

Jockey.

Syndicat de métiers divers, il milite à l’Athénée du Retiro.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro où il trouve comme compagne la cousine de Angel Pestaña et puis ira libérer Madrid le 14 novembre.

1892 : Né à

Né à

Né à Madrid

Maçon.

Il milite à l’Athénée de Ventas.

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

Né à

1908 : né à

ancien instituteur de l’école rationaliste, officier pendant la guerre.

1939 : Exilé en France, il est enrôlé dans les compagnies de travailleurs espagnols où il est fait prisonnier en Moselle puis déporté à Mauthausen.

1945 : Il sera libéré du camp allemand. Comptable et archiviste de la CNT Nord, puis administrateur des librairies de la CNT rue sainte Marthe puis des Vignoles à Paris, secrétaire du Comité Régional Catalan.

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

Né à

Né à Montejaque ? (Malaga)

1900 : Né le 16 janvier à Bullas (Murcia)

Modéliste en grès.

Autodidacte, il fit seulement 3 années d’école, de 8 à 11 ans.

1911 : Il travaille à Barcelone dans une multitude de petits boulots.

1920 : En pleine période de terrorisme, il fait une rencontre avec les pistoleros de Koenig, ce qui lui vaudra la prison.

1926 : il sort de prison grâce à une amnistie accordée pour honorer la traversée de l’atlantique en avion par Ramon Franco. Il intègre le groupe " Solidaridad " dont fait parti Pestaña, Massoni, Foix, Alfarache, B. Marco dans le but de relancer la CNT en perte de militants pour cause du terrorisme et du syndicat " libre ".

1927 : Lors du Plenum de Madrid il est élu secrétaire du Comité National, pour remplacer Juan Peiro, qui avait été arrêté.

1928 : En avril, avec Alfarache, ils relancent le journal " Despertar maritimo " de Vigo qu’avait lancé José Villaverde; il dirige aussi Accion à Barcelone et Mañana avec Antonio Garcia Birlan.

1930 : Avec Pestaña il négocie à Madrid auprès du général Berenguer l’ouverture du Syndicat.

1930 ? : Le Comité National convoque un plenum pour proposer l’adoption du texte de E. Quintanilla

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente". Il est exclu du Comité National après l’article très dur de Cultura libertaria dirigée par A. Gibanel .

1932 : il dirige la revue Cultura libertaria, qui se renomme Sindicalismo, il est l’auteur du brouillon du pacte de Alianza Obrera de Cataluña ; et pour contrecarrer la FAI, ils créent la Federacion Sindicalista Libertaria (à la même date Pestaña crée le Parti Sindicalista).

1934 : En étant Secrétaire de cette Fédération, il dirige le journal Sindicalismo, transféré à Valencia dans lequel il écrit des textes appelant à la réunification de la CNT.

1936 : Lors du Congrès de Saragosse, il opte pour la réunification de la CNT avec les syndicats d’opposition.

1936 : Militant du syndicat de la construction de Barcelone , il sera Ministre de la République du Gouvernement de Largo Caballero chargé du commerce.

Né à San Sebastian

1936 : En septembre, il est fait prisonnier à San Sebastian, il est blessé et laissé sans soins, son bras gauche peu à peu se gangrena.

Né à

Né à

1936 : rédacteur à Acracia de Lerida et Maire de la ville,

Né à

Né dans l’île de Mallorque

Maçon

Il milite à l’Athénée de Ventas

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et Forme avec d’autres dans le même cas le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

1944 : En mars, au congrès de Muret il est élu secrétaire du sous-comité de la CNT pour la zone occupée. En octobre le sous-comité étant dissout par le congrès de Toulouse, il est élu à la section Politique du CN du MLE.

Né à Madrid

Marin

Syndicat de métiers divers, il milite à l’Athénée du Retiro

1936 :Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et Forme avec d’autres dans le même cas le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre,

Né à

Né à

1914 : Né à Valencia

Cheminot

1939 : Il est fait prisonnier à Alicante. Il s’échappe du camp de Albatera et rejoint la France ou il est incorporé aux compagnies de travail, lutte avec De Gaulle dans les FFL au 8° corps d’armée anglais en Afrique du Nord, puis le 5° en Italie et le 7° corps d’armée américain en France. Il est fait prisonnier par les Allemands le 12 janvier 1945 en Alsace. Il sera interné au camp de Langwasser où il finit la guerre, libéré, il revient en Espagne pour continuer la lutte dans la clandestinité.

1946 : Elu secrétaire du Comité National de l’intérieur lors d’un Plénum Régional à Madrid

1947 : Le 22 mai, il est arrêté à Barcelone par le commissaire Quintela, qui lui propose de devenir une balance, il refuse, entre temps le Gouvernement anglais demande par voie diplomatique qu’il ne soit pas torturé, ce qui fait dire à Montseny à Decazeville, que la CNT de l’intérieur a ses bureaux au sein de la police sociale.

1949 :Il est condamner à mort, mais par l’intervention du consulat français sa peine sera commuée en perpétuité, il sortira de prison après 17 ans, un mois et sept jours et c’est un membre du consulat français qui l’attendra à sa sorti.

1964 : Sorti de prison il est sollicité par le syndicat Vertical de Franco pour un compromis, avec d’autres libertaires, il accepte le compromis et va le discuter.

Né à

1944 : Entre le 3 et le 15 octobre, il est élu à la Coordination du secrétariat dans le nouveau Comité et la première réunion "publique" du MLE est célébrée à Toulouse.

Né à

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région catalane

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région des Asturies, il écrit des articles dans Solidaridad Obrera de Gijon.

Né à

Secrétaire Général de la CNT en 1936, il est remplacé par "Marianet"

1939 : Membre du conseil général du MLE il démissionne peut après sa première intervention.

Né à

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Maçon

1919 : Secrétaire du syndicat du bâtiment, il est gravement blessé lors d’un attentat le 23 avril, provoqué par la police parallèle de Brabo Portillo.

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

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Né à

Capitaine

1897 : Né à Madrid le 4 novembre

Maçon

De père manœuvre, il devra faire des petits boulots jusqu’à l’âge de 16 ans où il entre comme "pinche" dans le bâtiment. Il est syndiqué par son père à l’UGT. Il apprend à lire vers 20 ans.

1920 : Il fréquentera les anarchistes après l’attentat contre Eduardo Dato (chef du conseil des ministres). Il conspirera contre le dictateur Primo de Rivera lors de la "Sanjuanada ".

Après la dictature, il se syndique à la CNT et y organise le syndicat du bâtiment, il participe à la création des groupes de défense confédérés.

1933 : Avec Durruti et Issac Puentes, il forme partie du comité révolutionnaire de Saragosse.

Il aura des responsabilités dans la CNT comme délégué de chantier, jusqu’à être secrétaire du syndicat du bâtiment.

1936 : il est jeté en prison pour faits de grève, il en sort pour prendre les armes et participe aux combats pour la prise du " Cuartel de la Montaña " à Alcala de Henares , Guadalajara.

Avec Durruti, il organise la défense de Madrid, et à la mort de celui-ci, il prend la direction des colonnes anarchistes du front de Madrid. Partisan de la militarisation des colonnes de la CNT il prendra la tête de la 14^ème division, puis le commandement du 4^ème corps d’armée qui gagnera la bataille de Guadalajara contre les Italiens où il sera promu au grade de lieutenant-colonel. Plusieurs fois il échappera aux attentats et intrigues des communistes contre sa personne.

1938 : Il dirige une manœuvre militaire pour détourner les forces ennemies du front de Catalogne et engage la bataille de Sacecorbo où il gagne 20 Km à l’ennemi.

1939 : A la fin de la guerre il s’oppose au soulèvement communiste et participe à la "junta de defensa " du général Casado avec l’accord de la CNT du Centre.

1939 : Exilé en Algérie et au Maroc il sera extradé par le gouvernement de Pétain vers l’Espagne où après plusieurs années de prison, il sera libéré et fuira en France. Il militera dans la CNT en exil créant le D.I. (Defensa Interior ). Lors de la scission il fondera le journal Frente Libertario.

1965 : Participe au Plenum de Montpellier, qui réunifie la CNT pour un temps.

Né à

1943 : Un des initiateurs du congrès de Marseille de décembre.

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Né à Barcelone

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1901 : Né à Jumilla (Murcia)

1920 : Secrétaire de la Fédération des groupes Anarchistes de langue espagnole en France 1930-32, secrétaire du Comité péninsulaire de la FAI en Espagne, collaborateur à Solidaridad Obrera, directeur de Tierra y Libertad et de Tiempos Nuevos,

1939-40 : Chargé par Marianet d’établir des relations avec la CNT de l’intérieur (Espagne), il prend

contact avec Ponzan mais il est contrarié par Esgleas qui n’a pas confiance en Ponzan.

Il est sous-secrétaire à la défense pour la Généralité en Exil pendant l’occupation de la France.

1943 : Il participe à la réorganisation de la CNT et à la résistance, au Plenum de Mauriac (Cantal) il est charger d’écrire un texte en compagnie de Felipe Alaiz sur la Projection du Mouvement Libertaire vers le futur, ce texte "Ponencia" sera lu et très largement divulgué aux militants. Ce texte sera le point de départ des divisions dans le Mouvement Libertaire.

1943 : Secrétaire du Comité National élu au plénum de Tourniac le 19 septembre, il est réélu à Marseille. Il est un des initiateurs du congrès de Marseille en décembre 43.

1944 : Elu secrétaire général du Comité National de la CNT en octobre. Il entre en Espagne clandestinement et exerce diverses fonctions au sein de la CNT de l’intérieur. Arrêté, il fera 7 ans de prison. A sa libération il revient en France clandestinement.

1984 : Il meurt à Barcelone.

Il est l’auteur de livres comme : Noche sobre España, Siete años en las prisiones de Franco, Mexico, libro Mexicano editores 1958, El movimiento clandestino en España 1939/1949, les Anarchistes espagnols dans la tourmente.

Né à

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1912 : Né à Sangüesa, Navarre

Membre du groupe de résistants de Francisco Ponzan,

1943 : Arrêté par la Gestapo de Perpignan en juin, il est déporté à Buchenwald.

1945 : Libéré, et sans attendre d’être rétabli, il passe clandestinement en Espagne. Arrêté, il est condamné à 17 ans de prison. Libéré par intervention d’une personnalité de la résistance européenne (qui ?) Il reprend ses activités dans la CNT de l’intérieur.

Il est secrétaire du comité régional de l’Euzkadi, de l’alliance syndicale UGT-CNT-STV et de la Junte de Défense et de Résistance du Gouvernement basque de l’intérieur.

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1934-35 : Membre du Comité central de la CNT, secrétaire d’Horacio Prieto, il est au conseil national des chemins de fers pendant la guerre,

1939 : Arrêté, il est condamné à mort, sa peine est maintenue jusqu’au 11 avril 1946

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1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

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Secrétaire du Comité National de la CNT ; Délégué par le Congrès de Lerida pour aller à Moscou, il sera exclu de la CNT à son retour et créera le POUM avec Joaquin Maurin.

Né à

Ouvrier mineur et professeur dans les écoles rationalistes

1923 : né à Linares, Jaén

Milite très jeune à la CNT où il occupe différents postes dans les Asturies,

1937 : Il est secrétaire de propagande à Jaén et responsable de la radio EAJ-37 de Linares,

1938 : Il est nommé milicien de culture dans la 88° brigade mixte,

1939 : Arrêté à la fin de la guerre, il peut se réfugier en France où il participe aux revues et journaux de la CNT.

1960 : Il est secrétaire de propagande intercontinental. Il collabore avec le président mexicain Fernando Valera et réalise plusieurs missions diplomatiques en Yougoslavie et au Mexique, il étudie la sociologie avec les universités de hollande et USA.

Né à

1919 : Délégué au Congrès national pour la région andalouse

Né à

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1901 : Né le 14 avril à Cisterniega (Valladolid)

Journaliste

Elève de l’école rationaliste de Valladolid, malgré sa jeunesse, il donne l’impression d’une extraordinaire maturité.

1915 : A 14 ans il est respecté par les ouvriers

1919 : Délégué au Congrès National de Madrid, très bon orateur et polémiste, il a une très dure polémique avec les pro-soviétiques de Valladolid.

1924 : Détenu sur ordre du général Burguete alors qu’il tentait de prendre contact avec des ouvriers des Asturies, il passe en France, à Paris, où il dirige la revue Tiempos Nuevos.

1926 : Le gouvernement français demande son expulsion, et il part pour l’Allemagne ou il connaîtra Rudolf Rocker à Berlin et Max Nettlau à Vienne ; il gagne sa vie comme professeur à Vienne puis à Hambourg, Leipzig et Londres ; sa rapide assimilation de l’allemand lui permet de traduire de Marx, Nettlau, son livre sur Elisée Reclus est publié en Espagne dans la Revista Blanca en deux tomes.

1930 : Lors d’une réunion de la FAI, il est décidé que ses membres devront être le fer de lance de la CNT. Appliquant cette décision, il est à nouveau emprisonné, il décide alors de s’expatrier.

1931 : Comme membre de l’AIT, il revient à Madrid pour assister à son Congrès et il reste pour celui du Conservatorio, à partir de ce moment-là il demeure en Espagne.

1932 : Il participe au meeting de Fuencarral à Madrid et à celui de la Plaza de toros de la Monumental de Barcelone.

1933 : Lors de l’alliance CNT-UGT, il polémique contre les détenteurs de la pureté anarchiste et pour l’alliance

1934 : Le 13 avril le Ministre Salazar Alonso le fait emprisonner craignant son influence, mais il doit le libérer de peur qu’il ne meure en prison.

1936 : Il meurt de tuberculose le 28 juillet.

Né à

Né à

1907 : Né à

Menuisier.

Ses frères et sœurs aînés sont à la CNT. Il a 15 ans quand son père meurt. Apprenti menuisier il milite au syndicat CNT du bois dont il sera un jour secrétaire.

1933 : il participe à un attentat suivi d’une tentative de soulèvement à Barcelone. Il est arrêté et torturé. Par la suite il entre dans le groupe " Nosotros " où il retrouve entre autres son ami Gregorio Jover, José Pérez dit " El Valencia "avec qui il fera toute la guerre civile, Buenaventura Durruti , Francisco Ascaso et Juan Garcia Oliver considéré comme la tête pensante du groupe.

1934-36 : années noires de la République. Violences, répression.

1936 : Congrès de la CNT à Saragosse. Le groupe "Nosotros " organisation militaire secrète de la CNT prépare la résistance au coup d’état militaire prévisible. Ortiz cache 300 fusils.

1936 : Il participe aux combats de rue à Barcelone le 19 juillet. Deux de ses amis soldats, Terrer et Gordo ont déserté avec 50 hommes et des mitrailleuses pour se rallier aux ouvriers.

Ortiz se retrouve aussitôt à la tête d’une colonne de 800 miliciens qui part pour Lérida puis Caspe en Aragon. Il y sera rejoint par Joaquin Ascaso.

" Nous sommes en guerre, tu dois obéir " lui dit Garcia Oliver.

Ortiz se retrouve dans la situation paradoxale de gouverneur militaire anarchiste de la région de Caspe. Il est amené à faire fusiller deux hommes pour pillage et tentative de viol. Il est confronté aux délations motivées par la cupidité et l’opportunisme. " Je laisse ces moments à qui les veut ", dira-t-il.

Dès cette époque, constatant les dérapages et les abus tant au front qu’à l’arrière et se heurtant au refus de Madrid de lui fournir des armes, il confie à un de ses amis "la guerre est perdue mais elle sera longue ".

Accusé de libertinage par les libertaires puritains de la CNT-FAI, il est pourtant un des premiers à renvoyer les miliciennes à Barcelone sous prétexte d’une épidémie de maladies vénériennes sur le front.

Lors de la militarisation des milices il se retrouve officiellement commandant de la 25^ème division. Les communistes tentent secrètement d’obtenir son ralliement.

1936 : Le 6 octobre à Bujaraloz : Durruti, Ortiz, Jover et les représentants de la CNT de 139 communes décident de créer un conseil régional de défense de l’Aragon pour administrer la région de façon autonome. Joaquin Ascaso en est le président. Le conseil siège d’abord à Monte Julia où son isolement géographique et économique le rend impuissant. Il s’établit ensuite à Caspe.

Différents conseillers font fonction de ministres. Le conseil émet ses propres timbres et son papier monnaie. Il reçoit des visites de délégations de pays étrangers (Mexique). Cette autonomie irrite la CNT de Barcelone et les autres partis de gauche, en particulier les communistes. Les collectivisations dans l’Aragon posent des problèmes quotidiens mais à l’accusation de dictature, Ortiz répond qu’il se promène dans les villages sans escorte et sans arme.

1936 : Le 4 novembre le gouvernement de Largo Caballero est formé à Madrid avec la participation de 4 ministres anarchistes. (Garcia Oliver, Montseny, Peiro, Lopez.) Deux semaines plus tard Durruti est tué à Madrid dans des circonstances obscures.

Le comité central des milices de Barcelone est dissout et la participation des anarchistes au gouvernement autonome catalan se négocie.

1937 : En mai au début des combats de Barcelone, Ortiz et Ascaso sont à Valence. Ortiz dissuade Joaquin Ascaso de se rendre à Barcelone et ils rentrent en Aragon.

Le gouvernement Largo Caballero tombe et les 4 ministres anarchistes avec lui. Ils sont remplacés par le gouvernement Negrin socialiste proche des communistes.

C’est l’ascension foudroyante des communistes.

1937 : En juin, ces derniers éliminent le POUM et Andres Nin. En août ils s’attaquent aux anarchistes, en Aragon, la colonne Lister dissout le conseil de défense et les collectivités. Les troupes anarchistes d’Ortiz bloquées au front par les fascistes sont impuissantes contre cette agression sur ses arrières.

Ortiz est alors destitué de son commandement par la CNT de Barcelone et par l’armée. Il est remplacé par Vivancos, cénétiste et ancien du groupe " Los Solidarios ", mais plus complaisant avec les communistes. A cette époque la CNT à travers son secrétaire national Mariano Vazquez négocie le retour de ministres anarchistes au gouvernement de Negrin qui le fait chanter.

De retour à Barcelone Ortiz retrouve sa femme et sa fille qu’il fera bientôt évacuer en France et suit une formation à l’école d’état major.

1938 : Mars, offensive et victoires nationalistes en Aragon, chute de Belchite et Caspe. Le PC accuse les chefs militaires anarchistes, en particulier Ricardo Sanz successeur de Durruti à la tête de la 26^ème division. Marianet et Garcia Oliver manigancent son remplacement par Ortiz sous un prétexte médical. Ortiz refuse de participer à ce complot.

Il est alors nommé à la tête de la 24^ème division dans les Pyrénées catalanes, avec Joaquin Ascaso, Terrer, Gordo. Le 4 juillet 38, il est destitué et apprend que son élimination physique est prévue.

1938 : Avec ses amis il décide de passer en France où il obtient l’asile. Déclaré traître et déserteur il est condamné à mort par la CNT. Bueno et Latorre deux hommes de main de Manuel Escorza, le chef des services secrets de la CNT, se rendent en France où ils tentent d’empoisonner Ortiz et Joaquin Ascaso à l’arsenic.

Le 10 septembre 38 ils sont arrêtés par la police française à la demande du gouvernement Negrin, mais ils ne seront pas extradés.

1939 : Libérés en avril ils se rendent à Paris où s’est réfugiée la direction cénétiste et lui demandent des comptes. " L’organisation a pris des mesures, si celles-ci avaient été exécutées vous ne seriez pas ici " leur est-il répondu. Peu de temps après Marianet se noiera dans la Marne.

Septembre 39 : au début de la guerre, Ortiz est interné comme beaucoup d’espagnols d’abord à Saint Cyprien, puis à Collioure et ensuite au Vernet d’Ariège.

1942 : En juillet, il est déporté au camp de Djelfa dans le sud algérien. Libéré après le débarquement allié en Algérie, il s’engage dans les corps francs d’Afrique. Le général anarchiste est devenu un simple soldat. Campagne de Tunisie, débarquement en Provence, prise de Belfort, Colmar, Allemagne, blessures, médailles et citations. Démobilisé, il travaille comme employé forestier dans l’Ariège.

1948 : avec Laureano Cerrada et Primitivo Gomez, il organise un attentat contre Franco avec un avion de tourisme transformé en bombardier. C’est un échec.

Recherché par la police française, il s’exile au Venezuela.

Revenu en Espagne après la mort de Franco, il finira ses jours dans une maison de retraite de Barcelone.

1996 : Il décède le 2 avril.

Né à

1932 : Crée la Fédération de paysan de Catalogne le 7/9 de septembre à Villafranca del Penedes.

Né à

Né à Torrasa

Secrétaire du Comité Régional de Catalogne et Baléares de la FIJL

Né à

1923 : Doit s’exiler à Cuba sous la dictature de Primo de Rivera à Santiago où il forme un groupe avec Fidel Miro y Jaime Baella (dit Modesto Llanos)

1929 : Il doit prendre le Maquis à Cuba, poursuivi par le dictateur Gerardo Machado

1931 : Apres avoir pu s’embarquer pour l’Espagne, il réside à Manlleu (Barcelone) ou il travaille comme coursier.

1936 : Secrétaire du district.

1937 : Après les événements de mai, il doit se réfugier à Valencia, puis à Liria ou il sera à la tête de la collectivité jusqu'à la fin de la guerre.

1939 : Pouvant partir en bateau pour l’Afrique, il cède sa place et reste en Espagne.

1939 : Premier secrétaire du Comité National de la CNT de l’intérieur dans la clandestinité, il est arrêté par la police.

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Journaliste

1919 : Délégué au Congrès National 

Né à Almeria, Espagne. De son vrai nom Diego Camacho.

1908 : Né à Vall d’Uxo, Castellon

Ouvrier du bâtiment (ladrillero) puis journaliste et écrivain.

Pour contrecarrer les "Aventures révolutionnaires de Ascaso-Durruti-Jover " il entre à la FAI, mais "ils" ne sont pas là "ils" ont un groupe à part : " Nosotros ".

1927 : crée un journal le ladrillero et se fait remarquer par le journaliste Felipe Alaiz

1934 : En août il entre à Solidaridad Obrera, dont il démissionnera en 1936

1936 : Rédacteur à Acracia de Lerida, il démissionne pour partir au front avec la26°division.

1937 : Directeur de " Ruta " bulletin des FIJL, il collabore à Frente y Propagande de la Columna Rojo y Negro, ainsi que dans d’autres publications.

1938 : Officier d’état major sur le front d’Aragon

1939 : Exil en France, camps de concentration et départ pour l’Amérique du sud, Colombie, Venezuela, Equateur, Panama.

1947 : A son retour en France, il est élu Secrétaire Général du Comité National en exil, il voyage clandestinement en Espagne en 1947 .

1948 : Passe avec Massana en Espagne pour discuter avec le Comité National de l’intérieur à Barcelone et dirige la revue Ruta.

1950 : Réélu Secrétaire Général du Comité National en exil

1951 : Emprisonné et torturé à Lyon pour l’affaire du vol des PTT qui fit 3 morts et 6 blesses

1952 : dirige Ruta puis Cenit

1953 : TERMINE les trois tomes de La " CNT en la Revolución Española "

1954 : dirige la CNT

1965 : Le Congrès de Montpellier signifie pour lui, la mort de la CNT.

1967 : Au Congrès de Bordeaux, il est exclu de la CNT alors qu’il considère ne plus en faire partie.

1967 : Une expulsion du territoire français est demandée par le ministre de l’intérieur, il sera sauvé par mai 68.

1977 : Il revient en Espagne après la mort de Franco.

1989 : Il meurt à Burriana le 20 août.

1887 : Né à Barcelone

Ouvrier Verrier

Il est un des plus brillant représentant de la tendance modérée de la CNT, secrétaire à plusieurs reprises du Comité National,

1919 : Délégué au Congrès national pour la région catalane

192 ? : Il signe avec Pedro Foix le manifeste d’intelligence avec les républicains.

1930 : Lors du plenum des syndicats, rue de Galileo à Sans, il est décidé de la reparution du journal Solidaridad Obrera, dont il sera le directeur.

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente", combattu par la FAI,

1936 : Ministre de l’industrie sous le Gouvernement de Largo Caballero,

1939 : En exil en France il sera remis par les Allemands à Franco. Il refuse les propositions des Phalangistes de diriger le syndicat vertical.

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

Né à

Né à

1886 : Né le 14 février à Santa Maria de las Ollas (Ponferrada)

Horloger

Pondéré et très bon propagandiste par ses écrits ou oralement au sein de sa profession bien avant la 1° guerre mondiale, il est une personne très influente dans la CNT ainsi que dans les milieux anarchistes de Tierra et Libertad, surnommé par Segui " el caballero de la triste figura "

1917 : Nommé Directeur de Solidaridad Obrera de Barcelone, il lance une campagne contre le chef de la police Manuel Brabo Portillo, espion des Allemands, et tueur à gages, qui causera la mort de ce dernier.

1919 : Délégué au Congrès national de Madrid pour la région catalane, il est envoyé en Russie pour faire un rapport sur la révolution Bolchevique, il partira sans argent aider par les groupes Anarchistes des pays qu’il traverse. 

1922 : pourchassé par les pistoleros de Anido et Arlegui il sera blessé lors d’un attentat à Manresa le 26 août.

1923 : Il passe la dictature de Primo de Rivera en prison ou pourchassé

192 ?: Après la dictature il crée à Barcelone les revues Action et Mañana, et refuse de signer le manifeste d’intelligence avec les républicains qu’avaient signé Peiro et Pedro Foix.

1931 : Secrétaire du Comité National, il raconte sa visite aux bolcheviques russes et fait scissionner la CNT de la 3° internationale, il essaie de calmer l’exaltation de la jeunesse pour l’action violente de la FAI (Durruti, Ascaso ...)

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente", ce qui créé des tensions dans son syndicat d’où il finit par être expulsé.

1932 : Influencé par des amis il prend la tête du Parti Syndicaliste et sera élu aux Cortes sous la République.

1937 : Meurt des suites de son attentat de Manresa, en étant adhérent à la CNT, tout en ayant créé le Parti Syndicaliste

Né à Madrid

Maçon

Milite à l’Athénée de Ventas

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre

Né à

Du syndicat du Bâtiment

1919 : responsable du Comité de grève le 9 février, lors de la grève de " la Canadiense " qui débute le 5 février et qui durera 45 jours.

Né à

Né à

Journaliste

1915 : Né à Charmantin de las Rosas Madrid le 2 août

Menuisier

Milite à l’Athénée de Ventas,

1934 : Il rejoint la CNT et la FIJL, il participe aux grèves au sein d’un groupe affinitaire au piquet de grève.

1936 : Pendant la grève de la Construction, il sabote à la dynamite le transformateur électrique d’un faubourg pour obliger les entreprises du secteur à cesser le travail.

1936 : Aux premiers jours de la guerre, il part de son Athénée avec un groupe pour récupérer des armes, ils se mêlent aux gardes d’assaut et vont au Batan où les militaires font donner l’artillerie, maîtres de la situation, ils prennent les armes et retournent à l’Athénée. Le lendemain, il prend part à la prise de Alcala de Henares, le jour suivant, il participe à la prise de Guadalajara où le combat est plus dur. Les jours suivants il part en patrouille de reconnaissance dans les villages aux environs de Madrid et c’est là qu’il décide de se joindre à un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et former avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre. Il participe aux combats de la Casa Velazquez, Filosofia y letras, Casa Quemada et Puente de los Franceses.

1937 : Il quitte la Colonne Durruti parce que son Athénée le demande comme responsable de la sécurité de son quartier, en octobre il est incorporé par ordre du gouvernement et se joint à la 39° brigade de la 14° division de Cipriano Mera.

1938 : au mois de mai il participe aux combats de Sacecorbo, Canredondo, Cifuentes, pour soulager le front de Catalogne. Il part pour le front de Teruel, se blesse accidentellement au genou et est évacué sur Madrid. Rétabli, il est envoyé à la 42° brigade (communiste) et ne participe pas au soulèvement communiste de la fin de la guerre.

1939 : Il se marie le 2 février avec Josefina Cascales Herrera, ils auront 4 garçons et 2 filles.

1939 : Il fuit Madrid avec des camarades de l’Athénée en attendant que les choses se calment à Madrid, mais le village où ils pensent se réfugier n’est pas sur et ils doivent retourner à Madrid à pied (aller et retour :160Km), il ne sera pas dénoncé.

1940 : Il doit rejoindre l’armée Franquiste dans laquelle il effectue 3 ans de service militaire.

1946 : Arrêté lors d’une réunion clandestine de reconstitution de la CNT. Il fera 3 ans de prison.

1958 : Il peut partir légalement en France pour travailler et fait venir sa famille en 1962 ; milite dans la CNT de l’exil mais vu les scissions, il rejoint le groupe de Cipriano Mera et cesse toute activité dans les années 80 ; il vit à Montpellier

Né à

Né à Oviedo, Espagne.

Il grandit à Huesca. Après l’école normale il devient instituteur. Il a été influencé par le militant libertaire Ramon Acin qui sera fusillé à Huesca en 1936.

Participe au Conseil de Défense d’Aragon pour la CNT en 1936-37, puis aux services d’espionnage en territoire nationaliste.

Réfugié en France en 1939, il sort des camps et forme un groupe pour faire des coups de main en Espagne où il essaie de libérer de prison son ami Lozano, né à Albalate de Cinca, et commissaire de la 127° brigade (avant colonne rouge et noire), mais blessé par la police à Boltaña (Huesca) il ne peut remplir sa mission et Lozano est fusillé à Saragosse. Il aide les services secrets alliés et participe à la résistance contre les Allemands sous le nom de Francisco Vidal. Il organise un réseau d’évasion à travers les Pyrénées, connu sous le nom de Pat O’Leary, en particulier pour les pilotes alliés, mais aussi pour le soutien aux groupes de la CNT restés en Espagne. Dès 1940 il est victime de la suspicion d’une partie de la CNT en exil, dont Germinal Esgleas.

Arrêté le 14 octobre 1942, il s’évade du camp de Vernet d’Ariège. Repris le 28 avril 1943, il n’est pas livré aux allemands mais est condamné à la prison à Saint Michel de Toulouse. Rejugé le 5 juin 1944 et condamné à une peine déjà accomplie il doit être libéré le 6 et conduit dans un camp d’internement. Le même jour il est arrêté par la Gestapo et fusillé le 17 août avec une quarantaine d’otages à Buzet sur Tarn.

Réfugiée en France, participe à la résistance en 1940-44 dans le groupe de son frère Francisco Ponzan, dont elle a écrit la biographie.

Né à

1932 : Crée la Fédération de paysans de Catalogne le 7/9 de septembre à Villafranca del Penedes

Né à

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à Madrid

Aide-soignant

Athénée de Ventas

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

Né à

Né à

Journaliste

Né à Castellon de la Plana

Professeur rationaliste et collaborateur à plusieurs revues anarchistes

1886 : Né à Gijon le 24 octobre

Ce que fut Gijon pour le mouvement libertaire avant la première guerre mondiale on le doit à Quintanilla et Pedro Sierra, amis tous les deux de Ricardo Mella.

1901 : il publie la revue Tiempos Nuevos

1904 : il publie Tribuna Libre avec R. Mella

1910 : Après la semaine tragique de Barcelone, Quintanilla et Mella publient Accion Libertaria et emploient beaucoup d’énergie a redémarrer le mouvement ouvrier.

1912-13 : il change le titre pour Le Libertaire, interdit par la censure, il redevient Accion Libertaria à Madrid.

1914 : Il crée une école rationaliste sur le modèle de F. Ferrer, salué même par ses ennemis comme une réussite.

1914 : il prend parti lors de la première guerre mondiale pour la France (comme Kropotkin) à contre courant de A. Lorenzo et Jose Prat qui dans Tierra y Libertad de Barcelone sont contre les deux belligérants, sentiment majoritaire chez les anarchistes

1915-16 : il republie Accion Libertaria à Gijon

1919 : Délégué pour les Asturies et sollicité par un vote à l’unanimité lors du congrès de la CNT au théâtre de la Comedia de Madrid pour partir à Moscou, Avec P. Villena ils ne pourront le faire, et c’est Angel Pestaña qui les remplacera.

Il sera parmi les premiers à s’opposer à la dictature du prolétariat , il défendra l’organisation du syndicat par branches et industries (" Aujourd’hui gardien des codes du travail, et organisateur demain de la production et de la consommation ") c’est la même thèse que défendra Juan Peiro au Congrès du Conservatoire de Madrid en 1931, formule qui montrera son efficacité en 1936-39.

192 ?: participe à la conspiration contre Primo de Rivera, dirigée par Sanchez Guerra lors de la nuit de la Saint Jean depuis Valence. Le Comité National étant à Gijon, Quintanilla fut emprisonné en compagnie de Amelio Quiles, Baldomero del Val et Eduardo Barriobero.

1931 : Vu de loin, il ne serait qu’un simple spectateur et non un acteur de la vie sociale durant la République.

1933 : Il écrit des articles pour réconcilier les trentistes et les syndicats d’opposition afin se retrouver tous au sein de la CNT, ce qui sera possible en 1936 lors du Congrès de Saragosse.

Né à

Syndicat de la métallurgie

Avant d’avoir 15 ans il cotise à la CNT.

1933 : Il participe aux soulèvements révolutionnaires armés de janvier et décembre.

1936 : Il forme une colonne et poursuit les fascistes jusqu’à Zafarraya (Grenade), il est blessé par une grenade et perd un œil; rétabli, il reprend la lutte, participe aux combats de Malaga et d’Extremadure.

1939 : La guerre finie, il passe dans la lutte clandestine où, depuis les montagnes il harcelait les villes par des incursions à Malaga, Cordoue et même Madrid. Il tuera les assassins de sa mère (deux Guardias civil) dans un bar au vu et au su de toute la ville. Pourchassé par la police de Malaga, il leur échappera à plusieurs reprises et même s'il fut dénoncé par certains, il était aider par d’autres. Il était craint dans la Sierra comme dans les villes où l'on demandait les papiers aux passants en bouclant des quartiers entiers par surprise, à sa recherche.

1905 : Né à Epila (Saragosse) le 5 août

1936 : Délégué de centurie dans la colonne Durruti, puis à la 25° Division il effectuait des attaques avec un groupe de guérilleros derrière les lignes ennemies.

Né à Madrid

Né à

Né à

1918 : Fait paraître Solidaridad Obrera à Vilafranca del Penedes lors de la répression contre la CNT.

Né à

Né à

Né à

Né à

Né à Madrid

Maçon

1932 : syndiqué à la CNT

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

Né à

D’une famille militante, il est un des plus actif lutteur contre les pistoleros de Anido-Arlegui

Né à

1919 : Délégué au Congrès national 

Né à

Secrétaire du Comité Régional Centre de la CNT

Né à

Né à

1931 : En août, il est signataire du Manifeste des "trente".

Né à

Né à

Journaliste

Né à Madrid

Milite à l’Athénée de Embajadores

1936 : délégué au Congrès de Saragosse

Né à Vejer de la Frontera ?

Né à

Né à Barcelone

Né à Moron ?

Né à

Né à

Né à

1884 : Né en janvier en Andalousie

Très bon orateur, organisateur et collaborateur de la presse anarchiste, il sera traqué par les pistoleros de Anido et Arlegui, fera plusieurs années de prison et sera promené de prison en prison, attaché par des cordes et marchant sur les routes, organisera des grèves et parlera dans les tribunes avec Salvador Segui, Pestaña, Domenech, Garcia Oliver et d’autres.

1911 : Délégué au Congrès de Barcelone

1919 : Délégué au Congrès national de Madrid pour la région du Levante

1931 : Délégué au Congrès de Madrid

193 ? : Déporté à Bata par la République

1936 : Délégué au Congrès de Saragosse

Né à Fuentes de Andalucia ?

Né à Barcelone

Né à Barcelone

Né à

Né à

Né à Madrid

Employé de Banque

Il milite à l’Athénée de Ventas

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

1937 : Il part pour l’Aragon en mai avec le grade de lieutenant, blessé, on le réincorpore dans une unité communiste, dont le commandant tente de le tuer, et s’enfuit pour rejoindre la 26° division.

Né à

Né à

Né en Andalousie

Né à

Capitaine

Né à

Né à

Maçon

Membre du groupe " Nosotros "

Ecrit un violent article contre " Los treinta Judas "

Succède à Durruti à la tête de la 26^ème division.

En mars 38, il est accusé d’être le responsable de la défaite après l’offensive fasciste en Aragon. Le PC demande sa destitution à la CNT.

1939 : Exilé en France, il est interné au Vernet, puis envoyé dans le sud algérien,

Né à

Peintre en Bâtiment

1918 : Secrétaire du Comité Régional de Catalogne

1919 : Délégué au Congrès national de Madrid pour la région catalane

Né à

Ecrivain

Né à

1888 : Né à

Recopie et divulgue les écrits de Ricardo Mella avec l’aide de E. Quintanilla

Né à

Né à

Né à Madrid

Syndicat de Colmenar Viejo

Milite à l’Athénée de Cuatro Caminos

1936 : Il part de Madrid avec un groupe pour rejoindre Durruti sur le Front d’Aragon et forme avec d’autres dans le même cas, le groupe " Madrid " qui ira se battre à Pina de Ebro et libérera Madrid le 14 novembre.

Né à

Né à

Né au Portugal

Né à

journaliste

Né à

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Né à

Né à

Né à

Né

Né à

journaliste

Né à

1879 : Né à Guadalcanal, Cadix le 29 juin

Docteur.

Son père est des Asturies

Ami de Fermin Salvochea, son maître, avec lequel il séjournera à Madrid pendant ses études de médecine.

Après le procès dit de la " coronacion ", le propre Salvochea le fait sortir d’Espagne pour le confier à des copains français.

1905 : Compromis dans l’attentat contre Alfonso XIII avec Carlos Malato, Almereyda, Eduardo Farras il dut se réfugier à Londres, où il connaîtra Tarrida del Marmol, Pedro Kropotkin, et Rudolf Rocker, là-bas il finira ses études de médecine.

1917 : De retour en Espagne, il a un grand renom comme médecin de village, il fait publier à Séville la revue, Paginas Libres, ce qui en fait une " idole " pour les paysans andalous, mais le bouc émissaire pour la bourgeoisie, emprisonnements et déportations se succèdent.

1919 : Lors du congrès de la CNT, il est sollicité à l’unanimité pour aller à Moscou, il n’ira pas.

1921 : Il dirige le journal Paginas Libres.

1924 : Sa lutte contre la dictature de Primo de Rivera le fera déporter à Tanger et Casablanca, d’où il se sauvera vers le Portugal. A Lisbonne, il rencontre Manuel Perez, puis retourne en Andalousie peu avant la proclamation de la République où on le voit à la tête du mouvement paysan en compagnie des notables, Blas Infante et Diaz del Moral.

1931 : il fait parti du complot dit de La Tablada, une base aérienne de Séville, avec le colonel Camacho, Ramon Franco (frère du futur dictateur) et du capitaine Rexach

1931-36 : Plusieurs fois emprisonné par la République, il était vénéré par les paysans et haï par la bourgeoisie et consœurs.

1936 : Quant éclate le coup d’état militaire, il rejoint les Milices et se destine au corps sanitaire.

1939 : Il s’exile au Mexique dans la région de Oaxaca et Veracruz

1970 : il finira sa vie comme médecin au mois de février

Né à

Né à

1921 : Monte un traquenard pour attirer Anido, il blesse le Maire de Barcelone Martinez Domingo afin que, quand Anido viendra lui rendre visiter à l’hôpital, ils puissent le tuer, mais ils seront vendus par un indic.

Né à Madrid

Jardinier

Syndicat de métiers divers, milite à l’Athénée du Retiro

Militant de la CNT, rédacteur à Solidaridad Obrera, puis secrétaire du Comité régional, puis National

Dernier secrétaire du Comité National d’Espagne de la CNT en 1936-39.

Après la chute du gouvernement Largo Caballero et la nomination de Negrin comme nouveau Premier ministre avec le soutien des staliniens, la CNT négocie le retour de ministres anarchistes au gouvernement.

Pendant l’été 37, Négrin le fait chanter pour une sombre affaire de trafic de bijoux. Marianet demande à Joaquin Ascaso d’endosser la responsabilité de ces faits ce qui vaudra à ce dernier d’être détenu quelque temps.

Ces négociations et chantages poussent Marianet à faire d’importantes concessions aux communistes, par exemple la liquidation des collectivités d’Aragon, la destitution d’Ortiz ,de Joaquin Ascaso, de Ricardo Sanz sur le front d’Aragon, puis de projeter l’élimination physique d’Ortiz qui le considérera jusqu’à sa mort comme un traître à la solde du PC.

Secrétaire du Conseil Général du Mouvement Libertaire créé en France dès 1939.

Né à

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1945 : Participe à la libération de Royan et Pointe de Grave en avril avec le Bataillon basque Libertad, dont il est chef d’une compagnie.

Né à

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1909 : Né le 24 décembre à Pradoluengo (Burgos)

Journaliste

Emigre en Argentine dans son enfance et travaille comme ouvrier électricien , où il participe aux luttes sociales.

1928 : Il entre comme rédacteur au journal La Protesta de Buenos Aires.

1929 : Elu au Secrétariat de l’Asociacion Continental Americana de los Trabajadores avec Emilio Arango, il dirige son journal La Continental Obrera. Lors du coup d’état du général Uriburu il peut se sauver et fuit les persécutions en se réfugiant en Urugay.

1931 : Il revient en Argentine clandestinement à travers les Andes. Après le changement de régime il fait reparaître la Protesta.

1932 : Arrêté et expulsé vers l’Espagne, il débarque à Barcelone, où le Comité régional le nomme à la direction de Solidaridad Obrera, ce qui lui vaudra plusieurs jugements et emprisonnements. Affilié à la FAI, il exclut Cambo qui se bat contre la main mise de la FAI dans la CNT

1934 : Après les événements des Asturies, il recueille les témoignages dans un livre : El anarquismo en la insurreccion de Asturias édité par Tierra y Libertad sous le pseudonyme de Ignotus.

1936 : Il dirige le journal Fragua Social de Valencia

1939 : Arrêté à Alicante, il est emprisonné au camp de Albatera.

Né à

Né à

1919 : Délégué au congrès National ?

Né à

1895 : Né le 19 Avril à Mazarron (Murcie)

Membre de la CNT et du groupe " Los Solidarios "

1937 : En automne 37, il est nommé en remplacement d’Ortiz à la tête de la 25^ème division à Caspe, car la direction cénétiste le juge plus souple qu’Ortiz dont les communistes ont exigé la destitution après avoir liquidé les collectivités d’Aragon.

1938 : à Barcelone on célèbre la prise de Teruel , sur les banderoles, Vivancos est célébré à l’égal de Durruti.

1939 : Réfugié en France, il est à Marseille à la fin de la guerre.

1945 : il est victime d’un canular qui révèle son caractère naïf et manipulable : il reçoit un faux ordre de mobilisation du gouvernement espagnol en exil lui promettant le commandement d’une armée pour reconquérir l’Espagne. Il se précipite aussitôt à Paris où il passera pour un crétin.

1945 : Il est expulsé de la CNT Orthodoxe de Marseille pour connivence avec la CNT collaborationniste de l’intérieur.

Après la guerre il deviendra un peintre naïf de renommée internationale.

Né à

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Né à

1945 : Il est délégué par la CNT collaborationniste de l’intérieur comme sous-secrétaire au près du ministre des travaux publics dans le gouvernement républicain en exil au Mexique de José Giral.

Né à